La folie n’est pas toujours présente chez le prétendu fou…
On a de l’électricité dans le cerveau, l’électricité peut même traverser notre corps sans nous tuer si la dose qui nous traverse de la main jusqu’aux orteils n’est pas synonyme d’overdose, d’ailleurs cette
énergie nous fait même être en légère lévitation le temps de sa traversée, je le sais bien j’en ai fais l’expérience quand j’étais enfant quand j’ai touché par inadvertance des fils électrique qui sortait du mur à la place de l’interrupteur qui avait été enlevé « par mon père sûrement pour un remplacement » et et qui se trouvait au dessus du lit dans lequel je m’étais couché…
On se charge également tout les jours d’électricité statique et on a besoin de s’en décharger régulièrement pour éviter le trop plein d’où les fameuses drines et minuscules éclairs bleus qui se produisent parfois quand on touche une poignée en métal conducteur et qu’on peut apercevoir lorsqu’il fait sombre…
Je suis consciente que mon cerveau fonctionne bien à l’énergie électrique et quand je suis devenue croyante grâce à l’accumulation de mes expériences naturelles et surnaturelles, mes réflexions en décembre 2020, j’ai eu un trop plein d’informations, une surproduction de pensées, une surcharge d’électricité qui m’avait fait disjoncter comme un compteur électrique qui disjoncte si on branche trop d’appareils en même temps, le fusible de ma lucidité avait sauté durant un moment et cette panne c’est reproduite 1 an plus tard pendant encore 1 moment…
Quand on conduit pour la première fois une voiture trop rapide pour soi il faut du temps, de l’expérience pour connaître et maîtriser son véhicule, c’est pareil quand le cerveau fonctionne tout d’un coup trop vite, il a fallut que je m’adapte pour le maîtriser…
D’ailleurs le seul point sur lequel la psychiatre avait raison quand on avait discuté c’est qu’elle m’avait dit que j’étais intelligente et que mon cerveau fonctionnait trop vite, que je pensais trop… Son tort c’est de croire et d’avoir essayé de me faire croire que c’était une maladie…
Non ce n’est pas une maladie, ça je ne l’ai jamais cru et j’avais bien raison de ne pas avaler leurs pilules (d’où les piqûres reçues de force), c’est une évolution de mon cerveau et le résultat d’une prise de conscience de mes capacités et il faut juste de la patience le temps d’adaptation, la preuve ça fait 7 mois que je n’ai pas reçu de piqûre suite à ma dernière hospitalisation et je vais vraiment très très très bien, 6 mois de fatigue le temps que le produit de la piqûre soit totalement rejeté par mon corps et maintenant tout roule à grande vitesse mais au lieu d’appuyer sur le champignon et risquer l’accident j’ai appris à contrôler ma vitesse et freiner quand le besoin s’en fait sentir…
À l’époque on m’avait prétendu folle et hospitalisé en psychiatrie ou j’ai découvert c’est quoi la folie, la folie ne se trouvait pas chez les patients car la cause de leurs hospitalisations était dû surtout à un problème de société, à un problème social…
Dépendance de drogues, deuil insurmontable dû à la perte d’un enfant, dépendance à l’alcool, injustice dû à un divorce, Burn out suite à une surcharge de travail, dépression et bipolarité suite à un viol, abandon des parents, victime de pédophilie et dans mon cas penser autrement qu’un mouton et avoir trouver la foi🐌…
La vrai folie je l’ai décelé dans les paroles d’une psychiatre qui m’a dit sans m’avoir fait une psychanalyse que j’étais comme tout les autres, car la psychiatre ne m’a jamais dit mon diagnostic, ça aussi c’est fou de dire à quelqu’un qu’il a un problème sans formuler le résultat du diagnostic, cette psychiatre met tout les patients dans le même sac alors que la science prouve qu’on est tous différents et m’a dit que je devais subir un traitement par piqûre pendant plusieurs années…
Il faut savoir que juste une piqûre est déjà une torture pour moi qui n’a jamais eu l’habitude des médicaments à part du paracetamol pour le mal de tête de temps en temps, que ça m’avait provoqué plus d’effets secondaires que d’effets bénéfiques inexistant dans mon cas et après la dernière injection il m’avait fallut 4 à 6 mois pour m’en remettre le temps que le produit chimique soit complètement rejeté par mon corps (je ferais bientôt un autre article sur le rejet des corps étrangers par le corps, car là aussi j’en ai fait l’expérience suite aux operations orthopédiques que j’ai subi), d’ailleurs heureusement que le corps se débarrasse de ce qu’il considère comme toxique car sinon j’aurais eu des séquelles neurologiques…
Donc sans m’avoir fait de psychanalyse, sans me connaître cette psychiatre a osé me dire qu’elle avait 25 ans d’expérience et que tout le monde rechute un jour, c’est là que j’ai décelé la vraie folie de la part de la psychiatre qui se permettait de juger une personne sans vraiment la connaître, sans effectuer une psychanalyse et en plus se permet de lui faire administrer sans son consentement et sous la contrainte par plusieurs soignants et avec force une piqûre qui contient un poison qui peut parfois s’avérer mortel si on a pour effet indésirable le syndrome malin des neuroleptiques qui peut provoquer le décès du patient, le risque de mort est entre 5 et 22% des cas pour ceux qui ont le malheur de développer ce syndrome qui fait partie des effets indésirables, alors oui chez cette femme j’ai décelé de la folie!!!
Je pense que la psychiatrie c’est l’échec de la psychologie et de l’aide sociale.
Car tout ne se soigne pas avec des antipsychotiques, neuroleptiques ou antidépresseurs et une psycanalyse effectuée en bonne et due forme permet de savoir si le patient a réellement besoin d’un « mal »…traitement médical, d’une aide psychologique effectué grâce à l’art de la parole ou d’une aide sociale pour résoudre les problèmes sociétal qui sont très souvent la cause d’une hospitalisation en psychiatrie!
Je dis en psychiatrie et pas en hôpital psychiatrique, car dans un vrai hôpital on soigne les patients alors qu’en psychiatrie en m’hospitalisant contre ma volonté, en m’emprisonnant dans une chambre d’isolement fermé par deux portes successives après m’avoir injecté un poison sans mon consentement, on a violé mon intégrité physique et morale et m’a réellement créé un traumatisme psychique qui restera gravé à vie dans ma mémoire.
Je ne dis pas hôpital psychiatrique mais juste psychiatrie car dans un hôpital on est sensé soigner un patient, mais on n’a pas le droit de le traumatiser, un médecin peut soigner un traumatisme mais n’a pas le droit de créer un traumatisme…!
J’en ai vu de toutes les couleurs durant mon hospitalisation, je pourrais écrire un petit livre sur le sujet tellement il y a des choses qui ne vont pas en psychiatrie…
On a beau être au 21ème siècle aux temps modernes, mais quand on devient croyant et qu’on ose penser et parler avec son libre arbitre on prend le risque d’être traité comme au moyen âge et subir de la torture sans impunité…!
PS: mon Esprit n’est pas dans mon cerveau il est bien au dessus de ma tête comme l’ampoule, la lumière qui m’a éclairé quand mon cerveau était plongé dans le noir et rendu malade à cause des piqûres de neuroleptiques et antipsychotiques sédatif, ils ont réussi à contrôler mon corps pendant le traitement, mais jamais ils ne réussiront à contrôler mon Esprits et même si c’est produits toxiques altère le cerveau ma mémoire se rappelle de tout, les connexions se reconnecte à l’Esprit et la mémoire se recharge naturellement au fil du temps…!
ALICIA DEL VAL Y GARCIA 